| Sujet: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 6:28 | |
| cha eun seol c'est mon nom complet, mais tu peux m'appeler seol sans problème. j'ai 23 ans et je suis né le 23/10/1992, ce qui fait que je suis un fier scorpion, s'tu veux tout savoir. pour le moment, je suis un simple hunter, mais j'aspire à rejoindre les tough. ah et pour finir, on dit que j'ressemble beaucoup à kim ah young / yura.. t'as d'autres questions comme ça, le journaliste ? | |
#MONSWAG
! savadi. ! 3/7. ! 25 y.o ! ça manque de nana courageuses ici ! je viens remonter le level èé et c'est la première fois que je me lance dans fow rp de ce genre ! soyez indulgent sinon je sors mon flingue <3 |
Quand je suis arrivée au camp, j'étais seule et recouverte de sang qui n'était pas le mien. Je tenais à bout de bras mon MP5 qui avait été vidé de toutes munitions. Derrière moi, ma famille, mes amis, mes sauveurs… tous avaient péri. Tous étaient morts, en grande partie à cause de moi...
Quand le phénomène avait commencé, j'avais refusé d'y croire. Ça remonte à quelques années maintenant, et j'étais jeune, un peu insouciante et rebelle sur les bords. Vous me direz, ça n'a pas tellement changé depuis… Sauf que j'ai mûri. Croyez-le, la mort ça forge un putain de caractère. Et moi je n'ai pas prise cette crise au sérieux... J'étais stupide de croire que cela n'arrivait qu'aux autres. Mais s'est arrivé, jusqu'à chez moi. Jusqu'à ma ville. Mes parents m'avaient mis en garde. Mon père plus qu'un autre. Il était le chef de la brigade de la police en personne. Lui le premier avait été tenu au courant de ce cas d'épidémie sans précédent. On m'avait pourtant mise en garde à maintes reprises. Mais je n'en écoutais pas un mot… Il avait fallu que je sorte un soir pour rejoindre des amis à une soirée d'anniversaire dans le voisinage, et le drame s'était déroulé juste sous mon nez. Là, sous mes yeux, je vis l'une de mes meilleures amies se jeter sur son propre petit frère. Mon sang n'avait fait qu'un tour à l'intérieur de mes veines, et je compris immédiatement ce qui se produisait… Au lieu de m'écouter, la plupart tentèrent de les séparer sans s'imaginer un seul instant le pire, sauf qu'ils furent les uns après les autres mordus et contaminés ou déchiquetés de la pire des façons. Je ne tardai alors pas à faire preuve d'un pur égoïsme, me fichant bien de ce qui pouvait arriver aux autres qui ne bougeaient pas à cause du choc. Bien décidée à quitter cet endroit, je m’apprêtai à sortir de cette maison lorsque je découvris que bon nombre de rodeurs étaient déjà en train d'errer à travers le quartier. Prise de panique, je me réfugiai à l'étage et me barricadai dans une chambre à l'abri du danger. Du moins, je l'espérai bêtement alors que je composai le numéro de mon père pour qu'il me vienne me sauver.
Ce bain de sang avait manifestement commencé depuis quelques heures, et comme je n'avais pas caché à ma mère l'endroit où je m'étais rendue, une fourgonnette se révélait déjà être en route pour me récupérer au moment où j'appelai. On me dicta alors de ne pas bouger, de ne pas faire de bruit et d'ouvrir à personne. Je ne compris pas tout de suite les raisons de ces mises en gardes. Mais c'est ce qui se produisit lorsque j'entendis à plusieurs reprises des coups retentirent contre la porte, ainsi que ces cris désespérés… Afin de fuir ce cauchemar, je n'avais rien trouvé de mieux que de me boucher les oreilles. Prétendre ne pas les entendre… Nier l'appel à l'aide de mes amis qui se faisaient déchiqueter chaque seconde un peu plus. Je ne pouvais pas leur ouvrir même s'ils étaient encore en vies. Une morsure suffisait pour se condamner à la mort. On m'avait dit de ne rien faire, sinon je risquai de devenir l'un d'entre eux. Je ne voulais pas mourir de cette manière. Je ne voulais pas non plus devenir un monstre. Alors je ne fis rien. Absolument rien. Malgré mes efforts pour me barricader de ce silence, j'entendis mon père débarquer ainsi que toute sa brigade lorsque les premiers coups de feus tombèrent de façon incessantes. Le ménage était vite fait. Et ils ne tardèrent pas à me retrouver à l'étage dans ce pitoyable état. Quelques miraculés furent secourus tout comme moi. Ceux qui avaient su se cacher à temps et au bon moment. Malheureusement je ne pus m'empêcher d'observer les dépouilles immondes durant toute ma traversée jusqu'au fourgon. Je revis ces visages décomposés et immaculés de sang… Tous morts. J'avais dégobillé sur mes propres chaussures dès l'instant où la voiture s'était mise en route. Je savais pertinemment où est-ce que nous irions ; au commissariat de police. C'était devenu l'endroit le plus sur de toute la ville… Et pendant un instant je crus rêver. Pendant un instant seulement, je découvris ma propre maison assailli par les morts-vivants et j'eus la vision effroyable d'entrevoir notre chien qui avait été laissé pour compte et qui tentait vainement de s'enfuir à travers la rue pour ne pas finir en pâté pour chien. Je préférai ne plus y penser, bien certaine de ce qu'avait été son sort. J'en voulu à mon père le jour où il m'avoua l'avoir délibérément laissé afin qu'ils puissent gagner du temps. Simple diversion. Simple sacrifice pour que ma mère et mon petit frère puissent sortir sans risquer de se faire prendre… Le pire, c'était qu'ils s'étaient tout de même fait avoir. Car quant on arriva sur les lieux, il n'y eut ni ma mère, ni mon frère pour nous accueillir à bras ouvert…
Pendant de longues semaines, le commissariat était devenu le lieu le plus sécurisé de la ville. Des grillages électriques avaient été disposés tout autour du bâtiment. Pour autant, le manque de vivres se fit vite ressentir et les secours des autres unités manquaient constamment à l'appel. Nous étions dans une petite ville et c'était déjà un miracle que nous tenions toujours debout. Depuis cette nuit tragique, mon père n'avait de cesse de me garder à l’œil et je fus constamment escortés par deux de ses subordonnés qui devaient assurer ma protection. J'étais devenue sa seule raison de vivre et de lutter. Et impuissante face à tout ça, j'en eus assez d'être chaperonnée comme une enfant et j'exigea qu'on m'apprenne à manier l'arme. Chose à laquelle mon père avait toujours refusé jusqu'à ces jours sombres. Il m’entraîna alors personnellement à tirer, premièrement dans leur salle d’entraînements, puis par la suite dans de réelles situations. Toujours dans la plus grande sureté, puisque je n'étais jamais seule. Je ne pouvais pas sur un simple caprice gaspiller trop de munitions sur un simple entraînement. Et je voulais aussi du concret. Butter du zombie, c'était comme assouvir une vengeance personnelle, pour tout ceux qui étaient morts ce soir-là. J'avais beau me sentir soulagée à chaque balle tirée, pour autant, je ne me sentais pas plus en sécurité ici qu'ailleurs. Mon quotidien était devenue une lutte sans merci pour la survie. Et dans quel but ? Celui d'espérer un miracle ? Un remède ? Cette chose n'existait pas encore. Tout comme il n'existait plus d'endroit en paix en ce monde. Je le compris rapidement, à chaque volontaire qui mettait en péril leur vie pour aller nous chercher de quoi nous ravitailler et nous nourrir. Plus de la moitié mourrait à chaque alternative… Et il arriva un moment où l'on ne fut plus qu'une petite dizaine dans notre refuge. Moi et ces quelques riverains paumés qui ne demandaient qu'à vivre mais qui n'avaient pas le courage de se battre. Puis un jour, on ne sait trop comment, l'un d'entre eux fut mordu en revenant d'une possible excursion, sauf qu'il le cacha à tout le monde jusqu'à l'instant où il se jeta telle une bête enragée sur mon propre père. Il lui arracha un bout de chair. Un bout de sa clavicule plus exactement. Et morte de peur, j'assistai à la descente aux enfers de mon propre père qui le repoussa rapidement avant de l'assainir de plusieurs balles dans la tête.
Ses heures étant comptées, il exigea tout de même à ce qu'on le tienne vivant jusqu'à son dernier souffle, exigeant bien évidemment une vigilance constante jusqu'au moment de sa transformation. J'avais eu bien du mal à retenir mes larmes, consciente de mes derniers moments passés avec lui. Il m'ordonna cependant de rester forte de digne jusqu'au bout. Le compte à rebours qui s’abattit sur nous fut en quelque sorte l'élément déclencheur de notre départ. Parce qu'il n'y avait plus aucune chance qu'on tienne plus longtemps en ville. Parce qu'il n'y avait plus aucun espoir qu'on nous sauve de cet enfer. Alors nous n'avions plus d'autres choix que de partir. Guidé par les dernières forces de mon père, ses dernières volontés furent que l'on me maintienne en vie coûte que coûte, peu importe les conséquences. Même si je détestai l'idée d'être privilégiée face aux autres civils, je ne rétorquai rien lorsqu'il s'en alla, me confiant son MP5 dans un dernier souffle avant qu'une balle ne l’atteigne en pleine tête. Ce n'est pas juste mon adolescence qui s'envola à ce moment-là. Ce fut mon cœur. Mon cœur qui se refusait désormais à aimer qui que ce soit pour ne plus avoir à subir de pareil souffrance.
On voyagea longtemps travers les provinces à bord de notre fourgon qui perdait peu à peu de ses occupants. Toujours à la recherche d'âmes humaines, d'un possible secours, d'un eden pouvant nous assurer la protection. Mais jamais rien de tel ne nous arriva. Le moment que je redoutais le plus pendant nos longs trajets, c'était le manque d'essences et l'idée de tomber sur une horde de zombies hantait toutes mes pensées. J'étais constamment terrifiée, mais cette peur se transformait aussi vite en haine dès que j'avais le malheur d'en croiser un. Je n'hésitai alors jamais à tirer, quitte à rameuter tous les autres, et c'était bien là le soucis ! Mon impulsivité aura eu la peau de quelques uns de mes camarades, malgré-moi. Je tâchai alors de garder mon sang-froid dès que possible. Mais ça, c'est une chose que je finis par acquérir à force des années qui passaient dans ce monde de fous. Il arriva un moment où le fourgon tomba en rade. Un moment où nous n'étions plus que quatre. La seule et unique fille de ce périple. Et malgré les nombreuses occasions qui se présentaient, aucun d'entre eux ne posa sa main sur moi, fidèles au serment de mon géniteur. Une lueur d'espoir émergea en nous le jour où l'on entendit parler d'un refuge pouvant nous accueillir et nous assurer protection. Après toutes ces années à lutter et à vadrouiller dans des patelins sans noms, nous trouvâmes espoir en la vie, bien que situé en Corée-du-Nord. Mes aînés jetèrent bien vite leur rancoeur quant à cette nation qui n'était désormais plus leur principal ennemi. Plus depuis l'apparition des zombies. On rebroussa chemin en direction du camp en question et on mit plusieurs semaines avant d'atteindre les frontières de la Corée-du-Nord. Deux de nos compagnons furent tués durant ce périple, et nous n'étions plus que deux. Un jeune mercenaire et moi.
La tâche ne fut pas aisée puisque la localisation de ce camp nous était inconnue. Les ondes radios se faisant rare, on ne pouvait compter que sur notre instinct pour survivre. Maintenant que nous n'étions plus que deux, nos chances de survis avaient considérablement chuté. Nous n'avions plus d'eau, plus rien à manger et plus aucune balle à charger. Mon MP5 ne nous servait plus à rien mais je le gardais sur moi, non pas par fatalité, mais parce que j'avais le sentiment de garder mon père auprès de moi toutes ces années. Je n'étais plus d'aucune utilité mis à part un malheureux couteau de cuisine qui ne quittait pas ma ceinture. On ne pouvait cependant pas abandonner si près du but. Alors on prit le risque de lâcher des feus de détresse un soir de pleine lune, du haut d'une tour dévastée. C'était l'endroit idéal pour se faire repérer, si campement il existait réellement. On ne pouvait tout simplement pas nous manquer… Mais cela alla dans les deux sens puisqu'on alerta également les rodeurs qui goupillaient dans le coin. Ce fut les trois heures les plus longues de ma vie… Trois heures de fuite, de combat, de sacrifice avant que le miracle ne se produise et qu'un escadron ne nous vienne en aide. Trop tard, cependant… Puisque mon ami succomba de ses blessures et de la fatigue, un sourire néanmoins intact sur ses lèvres lorsqu'il me révéla avoir accompli sa mission. Celle de m'avoir tenu en vie jusqu'à la fin. |
Dernière édition par Cha Eun Seol le 26.01.16 11:25, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 7:47 | |
| Une belle hunter ! Bienvenue chez nous Sexy survivante ! |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 7:49 | |
| savadiiiiiiiiiiiii. avec yura en plus ptn, tu me combles, je t'aime. et on manque grave de bleu alors je t'aime bis. bienvenue, et tu connais le refrain habituel... mais si tu as besoin d'aide, viens me voir moi - je blague, on est tous très gentils. (aa) bon making de fiche, hop j'ai très hâte de lire ça. |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 7:53 | |
| bienvenue parmi nous, yura est magnifique, très bon choix de célébrité et d'arme. |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 8:24 | |
| une tough. viens là je t'aide à déménager ma ptite spécial k au chocolat fondant. je t'aime, courage pour ta fiche. si t'as besoin d'un truc tu peux me mp. |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 9:15 | |
| méi ; sexy toi-même ! Merci isaiah ; c'est réciproque ! On peut que me combler en ayant jimin en avatar sérieux èé t'inquiète même si y'a pas encore assez de bleu, j'ai assez de munitions pour tous les dégommer ! Ils ont qu'à bien se tenir ! Mais ouep si j'ai besoin d'une oreille attentive, je te mpotterai et plus si affinités *sors* Je planche sur ma story et je poste dès que possible darling ah oui au fait ! Ça fait longtemps qu'on s'est pas croisé sur un fow et ça fait grave plaisir de retrouver une « ancienne » haha hide ; merci ! Jungkook est tellement mignon que je ne peux qu'approuver je te prêterai mon jouet si t'es sage, ça te va ? win ; mais purée tu me feras toujours marrer avec tes déménagements XDD bordel je t'aime aussi va ! |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 9:22 | |
| Savadi, mais on se suit toujours j'ai l'impression Bienvenue par ici, bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 9:24 | |
| je serais sage comme une image si je peux mettre mes mains sur ton jouet alors. |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 9:25 | |
| ooooh yura, me gusta bienvenue & bonne chance pour la suite (sors ton flingue et tire-moi desus, j'attends que ça !!)
Dernière édition par Min Chaelin le 26.01.16 11:26, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 11:13 | |
| Adonis ; c'est le destin babe mais rassure-moi, tu aimes me retrouver ne ? Hide ; bon garçon tu auras tous les privilèges dans la vie ! Chaelin ; omo baekhyun faudra pas me le demander deux fois ! Ça me donne même une idée de lien pour le coup, si tu tiens à ce que je sorte mon flingue haha Je pense avoir fini ! Mais faites-moi signe si vous voulez que je peaufine plus au niveau du caractère (a) je pense que ça manque un peu d'information |
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Invité
| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 11:23 | |
| yura. elle est bonne. c'est hyper bon choix. bienvenue beauté. je pense m'intéresser de près à ta demoiselle, on pourrait faire de belles choses ensembles |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 11:29 | |
| Qu'est-ce que je devrais dire de hyuna ? Ooh mais je pense qu'on pourrait former un bon pairing pour butter du zombie, je le pense aussi |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. 26.01.16 11:51 | |
| mon petit coeur pleure. c'est trop triste pourquoi il est mort. T___T c'est trop triste omg. pardon pardon je passe à la validation. @_@TU ES VALIDÉ ! cha eun seol, fier survivant.
(prénom du perso), bienvenue au camp huntdown. la première chose que tu dois faire, c'est consulter les règles en jeu. ensuite, tu devras obligatoirement aller faire ta demande de logement et tu pourras enfin passer à ta fiche de liens. si tu as des questions, n'hésite pas à contacter un des membres de notre staff; isaiah, shuwei ou win - nous nous ferons un grand plaisir de te guider. bon jeu ! |
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| Sujet: Re: cha eun seol ✖ in the darkness. | |
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